Par Thierry

@Olivier
Non, dans la photogénie il y a l’idée d’une image flatteuse, facile à réaliser, mais pas nécessairement intéressante. Si je réalise les portraits de deux personnes différentes dans les mêmes conditions de lumières et que pour la première 90% des photos me semblent plaisantes (ainsi qu’à mon modèle), il est photogénique. Ca veut dire que techniquement son visage prend bien la lumière, qu’il n’est pas grimaçant et qu’il ne cligne pas des yeux en permanence.
Mais il n’aura pas nécessairement de prosécogénie. Inversement, je peux réaliser 200 clichés avec l’autre modèle, n’en avoir qu’un formidable, mais avant même d’avoir commencé à le photographier, il dégageait une prosécogénie qui aura été comme une “injonction” (cf Raphaele Bertho ) photographique.
Mais bon, je suis sans doute dans la réappropriation…